MON CHEMIN POUR ALLER VERS LA CREATION DE MA NOUVELLE REALITE S’EST CONSTRUIT EN MARCHANT

Un bénéfice ? Plusieurs… Ils sont multiples

Un nouveau moi post chemin ? Non, un MOI EN MIEUX !

Un reset ? Oui sans aucun doute …

Un ancrage solide et un meilleur alignement pour la rentrée ? Absolument !

Un effet positif sur son organisme, sa silhouette, on capital santé ? Bien évidemment !

Il n’y a pas de règles, de notice d’utilisation, de mode d’emploi pour faire de son chemin une expérience transformatrice In & Out … Chacun choisi d’y mettre ce qu’il souhaite en attendre ou pas … Une confirmation de sa foi religieuse, un dépassement physique, une expérience touristique, une exploration intérieure, une aventure régénérante et réparatrice suite à un choc, une rupture, un deuil, une maladie, une aventure partagée avec un/des proche(s) ou encore de la simple curiosité.

Me faire plaisir à travers un nouveau challenge pour ressentir de la joie, de la fierté, de la satisfaction.
Être dans le ressenti et non dans le mental.
Me sentir en paix avec moi-même…Bannir les sensations de manque, de tristesse, de doutes, de honte, de colère, de rancœur, de frustration, de culpabilité, de déception, d’incertitude.
M’autoriser à répondre à la vie, à MA vie, à ce qui me met en joie. Oser ne plus avoir peur de mes ambitions, activer la foi en une nouvelle réalité de vie possible, devenir mon meilleur allié pour incarner qui je suis vraiment aujourd’hui.
Développer ma confiance en moi et dorénavant m’aimer profondément, faire grandir cette énergie capable d’aimanter la concrétisation de ce qui m’anime, me fait vibrer.

Je ne savais pas à quoi m’attendre, s’il y aurait une sorte de magie du chemin… Juste mes intentions dans mon dialogue avec moi-même étaient claires. Je n’étais donc pas dans l’attente pour ne pas être déçue mais j’étais prête à m’attendre à tout ce qui allait m’être proposé, dans l’ouverture.

Je ne me suis préoccupée que d’une seule chose chaque matin : mettre un pas devant l’autre et s’émerveiller de ce que je prenais le temps d’observer, d’entendre, de comprendre, de recevoir, d’accueillir.

Que ce soit tourné vers l’extérieur … les paysages, les rencontres, les odeurs, la nature qu’on touche, les expériences culinaires, les discussions…
Que ce soit tourné vers l’intérieur … les ressentis physiques, les limites qu’on se pose, les pensées furtives comme celles qui veulent s’installer, les émotions douces et celles qui bouleversent, le dépassement mental, les signes et réactions de son corps

>>> Exit le mensonge… On apprend à ne plus se mentir à soi-même, à lâcher les résistances de l’égo, on a le temps de reprendre chaque situation qui nous a fait sentir dans l’échec dans l’abandon, dans le rejet, dans le manque et/ou la peur… Et y trouver le positif puis l’opportunité de transformer et reprogrammer. D’ailleurs j’ai vécu des flashs, la remontée à ma conscience de scènes que mon cerveau avaient occultés probablement pour me préserver, j’ai versé des larmes, des sanglots sont remontés à la surface pour être digérés et éliminés.

>>> Exit les limitations qui ont pris beaucoup trop de place dans nos vies, qui se sont invitées via notre éducation, notre vécu, nos histoires anciennes et aussi implémentées au fin fond de notre système interne par l’accumulation de paroles, de comportements et même de pensées que nous transmettent les gens et qui nous empoisonnent. Toute la pollution énergétique véhiculée par l’actualité, toute la toxicité de nos émotions négatives et celles de notre dialogue intérieur. Nous sommes aussi naturellement trop dirigés par notre envie/besoin d’être accepté, aimable, aimé. Toute cette toxicité défavorise voire anéanti notre confiance, nos désirs, nos projets, nos rêves et nous empêchent d’être véritablement nous-même surtout.

Mon chemin m’a permis consciemment et inconsciemment de développer une autorité énergétique comme un bouclier solide qui ne laisse plus entrer ce qui peut m’être toxique, une sorte d’immunité face à ce qui pourrait interférer ma vie, mon bien-être, ma confiance et très probablement ma santé… dans toutes ses dimensions.

J’insiste sur le fait que je n’ai pas posé d’actions particulières, que tout s’est mis en place sans que je force quoi que ce soit. La justesse de ma nouvelle posture s’est imposée doucement et surement. Mon énergie s’est ancrée, forte, solide de l’intérieur mêmes faces aux confrontations que je ressens ‘toxiques’. Je l’ai senti dès mon retour à la maison ! Mon nouveau programme interne n’a pas permis l’entrée, il n’y a comme plus d’espace pour ce qui n’est pas bon pour moi et ce qui m’abime. Moins de perméabilité comme avant. Je n’autorise plus parce que j’aborde la situation différemment, en étant alignée je peux choisir de ne plus donner le plein pouvoir à mes émotions… Ce n’est plus elles qui décident, c’est MOI !

Un des baguettes magiques du chemin, durant un mois de marche, qui a sans aucun doute permis cette nouvelle définition de mon fonctionnement, c’est le bain permanent dans un environnement non hostile, 100% positif, pleinement joyeux et enthousiaste. Chaque jour infusent en toi les mots, les attitudes, les sourires, les rires, le contentement d’être là, le plaisir de vivre ensemble cette expérience, de se rencontrer, de converser. Jamais de plaintes, de mauvaise humeur, de jugements, de critiques, de paroles négatives, de conflits, de tensions… C’est comme une sorte d’épuration des résidus qui bloquent le système, une mise à jour, un renouvellement des paramètres internes… Il est là le véritable reset, le véritable cadeau qui permet la transformation.

J’ai souvent parlé sur mes réseaux d’aller chercher le confort dans l’inconfortable. C’est un mécanisme mental et physique qui s’est enclenché comme un mode survie. Parce qu’il y a plein de moments de résistance, du corps comme de l’esprit… ça ne lâche pas d’un coup ! Mais LE travail se fait. Physiquement, 760 kms parcourus absorbés par mon corps ont créé des souffrances, ont imposé d’aller explorer mes limites, ont impliqué du renoncement et de la résilience, mais aussi de la compréhension, de l’attention. Une communication avec soi … pour soi.

On m’a beaucoup demandé si j’avais perdu du poids, si je me sentais plus musclée. Question de femmes ! Préoccupations typiquement féminines 🙂 !!! C’est fou comme nous sommes obnubilées par notre apparence… qui clairement n’est plus du tout un sujet sur le chemin.

Alors oui je vais quand même y répondre ici :

Bien sûr le corps se tonifie… 20 à 35 kms/jour de marche avec un sac à dos de près de 10 kg est un effort quotidien fourni par son corps qui suscite un travail récurrent de notre musculature. Pour porter le sac tout en marchant, l’engagement du centre du corps est vraiment important. La taille s’affine, le ventre s’aplanit, le bas du dos se muscle. Quant aux mollets hyper sollicités ils se galbent et la totalité des jambes sont comme ‘drainées’ par la mécanique de la marche. Le retour veineux est stimulé. Sans oublier les grimpettes quand il y a du dénivelé et les descentes qui demandent de fournir de l’équilibre et de la force musculaire qui permettent de gainer tout le corps.
Est-ce que j’ai perdu du poids ? La réalité est que nous mangeons très bien, riche et copieux sur le chemin. Ce n’était pas mon cas, mais beaucoup finissent leur étape avec une bière et dinent ave du vin. Moi j’étais plutôt petite glace au goûter ou tarte aux myrtille  Alors même si j’ai dépensé 3000 à 3200 calories/jour … J’ai rempli le réservoir ! Ce qui est génial c’est qu’on augmente notre métabolisme de base donc notre organisme dépense plus au repos pendant et après le chemin quand on rentre à la maison. Néanmoins attention de ne pas continuer de manger allégrement au retour vu que nos dépenses chutent radicalement et continuer à être dans le mouvement avec des séances de sport régulières. Je n’ai pas de pèse personne mais effectivement j’ai dû me délester de 2 peut-être 2,5 kgs sur le mois. Je le sens un peu dans mes vêtements.
Autre bénéfice, c’est qu’on transpire beaucoup et on boit beaucoup d’eau (j’étais à 3 ou 4 litres/jour) donc on détoxifie en profondeur… on sa lave de l’intérieur en quelque sort !

« D’abord CROIRE avec une foi absolue, c’est à dire engager toute sa pleine confiance que tout ce qu’on désire va être disponible pour pouvoir VOIR se créer ce à quoi à quoi on croit fermement se réaliser »

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